Exposition autour du Polyptyque « Aurore en hommage à Paul Gauguin » – Du 20 juillet au 15 août 2024 à Carnac

Exposition autour du Polyptyque « Aurore en hommage à Paul Gauguin »

Cette exposition est un voyage dans l’univers de Bernard Bouin avec des œuvres des années 1993 (scènes de voitures), des paysages de campagne à l’aube ou au crépuscule créés en 1997 et un ensemble de natures mortes de création plus récentes (2020). Peintures en technique mixte d’Etretat (2019), quelques unes de Venise (2022) et d’autres de Vannes (2022) le plus souvent nocturnes et de petits  et moyens formats.

Dans la troisième pièce, autour du grand polyptyque « Aurore » 2016 dimension en hommage en Paul Gauguin « D'où venons-nous, Que sommes-nous, Où allons-nous? » dont il reprend le titre, un ensemble de peintures sur Carnac en particulier six peintures de la plage vide de Ty Bihan de l'aurore à la nuit profonde, stèles de Carnac, rochers traités comme des natures mortes.

Une vidéo de 11’45 accompagne la présentation du polyptyque avec la musique de Gustav Mahler « O Mensch » de la 3è symphonique dans l’interprétation magnifique de la soprano Kathleen Ferrier Durée 11'45.

 

 

Vernissage de l’exposition

Le samedi 20 juillet à partir de 15 heures

Dates de l'Exposition

Du 20 juillet au 15 août 2024

Carnac Ville

7 rue des Korrigans à Carnac

Ouvert tous les jours du 20 juillet au 15 Août 2022

de 11h à 12h30 et de 16h à 19h

et sur rendez-vous au 06 52 56 72 60

 

« Merci Monsieur Poussin » par Bernard Bouin, au Musée Nicolas Poussin

"Merci Monsieur Poussin par Bernard Bouin", Musée Nicolas Poussin - Les Andelys

Regarder, écouter, lire, peindre...
Nicolas Poussin, Richard Strauss, Michel de Montaigne et Friedrich Nietzsche.
Exposition Musée Nicolas Poussin Les Andelys

Vernissage de l’exposition

Vendredi 5 Avril à 18 heures au Musée Nicolas Poussin

Dates de l'Exposition

Du 6 Avril au 3 Novembre 2024

Interview de Bernard Bouin par « CHERCHEURS D’ART » – BFM PARIS

Du réel au mystère (Galerie mhaata, Bruxelles)

Pour cette première exposition à Bruxelles, le galeriste Jacques Antoine Tanner a choisi d'exposer des oeuvres (diptyques ou autres formats) des années 1990 à 2000 à l'époque où Bernard Bouin s’inspirait des primitifs italiens en particulier Piero Della Francesca.

Des œuvres plus récentes, natures mortes et paysages nocturnes, ainsi que des représentations graphiques de rochers et des falaises d'Etretat en réalisées technique mixte dans les années 2015 à 2018 complètent l’accrochage ; Vingt cinq œuvres de l’artiste seront exposées, illustrant le parcours du peintre de 1990 à 2022.

En Belgique notamment en 2005, Michel de Reymaeker, alors conservateur en chef des Musées communaux de Mons avait présenté à la Salle Saint Georges, un ensemble important de son travail lors d’une exposition intitulée : «  Le temps suspendu ».

« Si Bernard Bouin est figuratif, c’est d’abord que la figure, bien plus que l’image, l’interpelle. S’il est figuratif, c’est qu’il est d’abord peintre. Ce qui pousse Bernard Bouin à peindre, c'est donc la peinture elle-même et ses possibilités d'existence. Bernard Bouin cherche à concilier et à exprimer en un seul mouvement, en une œuvre unique, le monde visible et le monde spirituel, le concret et le mental…Au fur et à mesure de son parcours, Bernard Bouin cherche à définir, avec  une précision quasi-scientifique, les paramètres d’une représentation qui convienne à sa quête de sens certes, mais qui soit aussi, et surtout, toujours en phase avec l’évolution de son questionnement inquiet sur la pertinence, aujourd’hui, d’une peinture figurative de type classique : des reproductions de Piero Della Francesca, de Nicolas Poussin et de Chardin habillent les murs de son atelier…. ».
 Michel De Reymaeker  - Ancien conservateur en chef des Musées communaux de Mons (Belgique).

 

 

Vernissage de l’exposition

Jeudi 25 Mai 2023 à 21h (en présence de l'artiste)

Dates de l'Exposition

Du 26 Mai au 9 Juillet 2023

la galerie est ouverte le vendredi de 14h à 18h, les samedi et dimanche de 11h à 18h *

En dehors de ces jours, vous pouvez contacter la galerie sur site site internet : http://mhaata.com/exhibitions/bernard-bouin-du-reel-au-mystere#footer

 

 

Exposition « Mais toute joie veut l’Eternité »

A Paris, Mairie du 6e arrondissement (75006).

C’est un voyage entre poésie, musique et peintures que Bernard Bouin propose dans cette exposition à Paris.

L’exposition débute par la toile intitulée « Le Voyageur et son ombre »  2022 – 114 x 162 cm qui fait référence à l’aphorisme 295 de Friedrich Nietzsche « Et in Arcadia Ego » et la toile du même nom Nicolas Poussin du Musée du Louvre.

Dans la salle de l’exposition, le spectateur sera invité, devant les œuvres accrochées aux cimaises, à un parcours musical sous forme de vidéos.

 

Vernissage de l’exposition

Jeudi 8 septembre à 18 heures

Dates de l'Exposition

Du 5 septembre au 1er octobre 2022

Entrée libre

Du lundi au vendredi de 10H30 à 17h. Le samedi de 10h à 12h

 

« La joie plus profonde que la peine.

Mais toute joie veut l’Éternité,

Veut la profonde Éternité ! »

Le Chant d’ivresse d’Ainsi parlait Zarathoustra de Friedrich Nietzsche

Correspondances poétiques et musicales.

 

 

Interview de l’exposition par « CHERCHEURS D’ART » – BFM PARIS

Avec Nicolas Poussin,

Friedrich Nietzsche, Alphonse de Lamartine, Stéphane Mallarmé, Allan Edgar Poe, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud, Victor Hugo, Michel de Montaigne,

Gustav Mahler, Claudio Monteverdi, Christoph Willibald Gluck, Antonio Vivaldi et Claude Debussy.

 

C’est un voyage entre poésie, musique et peintures que Bernard Bouin propose dans cette exposition à Paris.

En effet depuis la création en 2010 avec son ami le violoncelliste Bruno Cocset de l’installation peinture-musique « Le Chant du jour », Bernard Bouin continue ce travail original de correspondances entre peinture, musique et poésie avec de grandes séries aux références mythologiques et poétiques.

 

L’exposition débute par la toile intitulée « Le Voyageur et son ombre »  2022 – 114 x 162 cm qui fait référence à l’aphorisme 295 de Friedrich Nietzsche « Et in Arcadia Ego » et la toile du même nom Nicolas Poussin du Musée du Louvre.

« Et in Arcadia ego » est le titre d’un tableau de Nicolas Poussin du Musée du Louvre. C’est aussi le nom de l’aphorisme 295 de Friedrich Nietzsche « Le voyageur et son ombre » écrit en décembre 1879 dont voici l’extrait final : « Il fallait sentir (empfinden) comme Poussin et son élève : à la fois d’une façon héroïque et idyllique. – Et, c’est ainsi que certains hommes ont aussi vécu, ainsi qu’ils se sont continuellement (dauernd) sentis dans le monde, qu’ils ont senti le monde en eux (in der Welt und die Welt in sich gefühlt), et parmi eux l’un des plus grands hommes qui soient, l'inventeur (Erfinder) d'une façon de philosopher héroïque et idyllique tout à la fois : Epicure.

Dans la salle de l’exposition, le spectateur sera invité, devant les œuvres accrochées aux cimaises, à un parcours musical sous forme de vidéos.

La vidéo de l’exposition (32’57)

La vidéo commence par un long chant de Kathleen Ferrier : « O Mensch » de Gustav Mahler 3e Symphonie évoquant le Chant de Minuit de Zarathoustra de Friedrich Nietzsche (2013) puis le Lamento d’Arianna de Claudio Monterverdi (Ariane à Naxos 2021) et la Plainte d’Orphée de Christoph Willibald Gluck (ensemble de 2 peintures autour de la copie en noir de blanc de la toile «  Orphée et Eurydice » de Nicolas Poussin du Musée du Louvre – 2018.

Cet hommage à Nicolas Poussin se poursuit avec « Miroir des Saisons 2005 » mis en résonnance avec des concertos d’Antonio Vivaldi interprétés par le violoncelliste Bruno Cocset et son ensemble les Basses réunies.

Les peintures et la musique sont mises en correspondance avec des extraits du poème « Le Lac » d’Alphonse de Lamartine évoquant la fuite du temps.

Également diffusé, un extrait de la vidéo du Corbeau d’Allan Edgar Poe (2015) avec le texte original et ses allitérations musicales dans la traduction de Stéphane Mallarmé. Puis un extrait de la vidéo de l’Après midi d’un faune de Stéphane Mallarmé avec le prélude de Claude Debussy (2014) pour finir ce parcours musical.

A l’étage, des toiles de rochers et de mers nocturnes et un ensemble de cinq peintures en bord de mer à Carnac évoquant la course toujours recommencée du soleil du crépuscule à l’aurore et le mythe d’Orphée selon Stéphane Mallarmé. Paysages au fil des saisons, natures mortes ou silencieuses et quelques stèles de Carnac évoquent aussi les vanités et l’Ecclésiaste.

Une exposition de 56 peintures, couvrant la période 2002 à 2022.

Très souvent, chez Bernard Bouin, la figuration est nocturne mais toujours porteuse de rêve et de mystère.  Au fur et à mesure, Bernard Bouin cherche ainsi à définir, les paramètres d’une représentation qui convienne à sa quête de sens.

 

« Bernard Bouin porte à son comble le message de la peinture, qui ne doit rien qu’à elle-même. Née de sa propre lumière, de sa force suggestive, de ses coloris tout aussi translucides, son œuvre est pénétrée de silence et d’immobilité dans une époque si agitée et si bruyante. Sa peinture est en quête d’elle-même, accordée aux lois de l’harmonie qui ordonnent l’univers ».

Lydia Harambourg historienne et critique d’art.

Extraits du Livre « Bernard Bouin Peintures du réel au mystère » Edition El Viso Madrid/Paris 2019.

 

Rencontres avec Bernard Bouin

  • Vendredi 9 septembre à 11h
  • Vendredi 16 septembre à 15h avant le concert.
  • Vendredi 23 septembre à 11h
  • Vendredi 30 septembre à 11h

 

 

Concert le vendredi 16 septembre

Salle des Fêtes à 17 heures.
En écho, dans un concert intitulé "Miroirs", ses amis les violoncellistes Emmanuel Jacques et Bruno Cocset joueront des sonates de Francesco Geminiani et de Jean-Baptiste Barrière. Bruno Cocset et Emmanuel Jacques ont aussi en commun leur passion pour la peinture et leur rencontre avec Bernard Bouin, source d’inspiration et de projets où musique et peinture se mêlent, communiquent, s’interpellent…

Exposition « Ombres & lumières à Venise »

A Carnac (56).

Bernard Bouin vit à Carnac l’été depuis 1979. Pour cette nouvelle exposition, Il présente un ensemble de peintures récentes sur Venise avant une nouvelle exposition à Paris qui aura lieu en septembre.

Il s’agit ici d’une exposition d’œuvres récentes en technique mixte réalisées en 2021/2022 et d’autres de 2012. Une exposition de 35 à 40 peintures.

 

« Entre certitude et  inquiétude, la peinture de Bernard Bouin nous met à l’écoute du monde dans lequel nous vivons et rêvons. Pris ainsi entre réalité et objectivité, mémoire et imagination, allons nous basculer dans un ailleurs, un autre temps surgi dans notre temps ?

Avec l’apparition de ses vues de Venise dans son corpus, l’ambiguïté visuelle est à nouveau balayée par le désir du peintre de poursuivre avec ce nouveau sujet un véritable dépassement.  Bernard Bouin renouvelle le prodige de nous entraîner dans le rêve éveillé de la cité lacustre. Ses images reconnaissables de la Sérénissime sont des transpositions émotionnelles de l’atmosphère marine de la lagune sous les jeux de l’aube et du crépuscule, détenteurs de l’incertitude, d’un engourdissement de la rétine progressivement prisonnière d’un mirage qui vient contre toute apparence buter sur ce moment suspendu.

Bernard Bouin porte à son comble le message de la peinture, qui ne doit rien qu’à elle-même. Née de sa propre lumière, de sa force suggestive, de ses coloris tout aussi translucides, son œuvre est pénétrée de silence et d’immobilité dans une époque si agitée, et si bruyante. Sa peinture est en quête d’elle-même, accordée aux lois de l’harmonie qui ordonnent l’univers. »

Lydia Harambourg Historienne et critique d’art.

Extraits du Livre « Bernard Bouin Peintures du réel au mystère » Edition El Viso Madrid/Paris 2019.

 

 

Vernissage de l’exposition

Samedi 30 juillet à partir de 15 heures

Dates de l'Exposition

Du 26 juillet au 14 août 2022

Entrée libre

Ouvert tous les jours de 11h00 à 12h30 et 16h00 à 19h00, et sur rendez-vous

Exposition « Nature(s) silencieuse(s) » & « La nuit étoilée de Vincent Van Gogh »

Le vernissage de l’exposition de peintures aura lieu l’après-midi du samedi 24 juillet 2021, 7 rue des Korrigans à Carnac (Morbihan), de 15 heures à 20 heures.

Cette année dans mon atelier de Carnac, vous pourrez découvrir du 24 juillet au 22 août, un ensemble de mes peintures récentes.

 

Vernissage de l’exposition

Samedi 24 Juillet de 15h à 20h

Dates de l'Exposition

Du 24 juillet au 22 août 2021

Entrée libre

Ouvert tous les jours De 10h30 à 12h30 et 16h00 à 19h00

Dans la première salle, un ensemble de peintures récentes scènes  nocturnes  les plus souvent de Vannes ainsi que des natures mortes (24 peintures).

Dans la deuxième salle et en écho, avec mes « nocturnes », une installation peinture – musique « La Nuit étoilée de Vincent Van Gogh » crée entre 2014 et 2020 autour des lettres de Vincent à Théo sur sa vision cosmique du monde.

C’est à la suite de mon séjour à Saint Rémy de Provence en Mai 2014, que j’ai relu les lettres de Vincent Van Gogh  à son frère Théo.

Très vite, je me suis intéressé à l’intérêt que Van Gogh portait à la Nuit étoilée. Quel sens lui donnait-il ?

Le 18 Juin 1888, Van Gogh écrit au peintre Emile Bernard «  Mais quand donc ferais-je le ciel étoilé, ce tableau qui toujours me préoccupe ».

Le 29 septembre 1888, Vincent écrit à Théo : « Ci-inclus petit croquis d’une toile de 30 carrée, enfin le ciel étoilé peint la nuit même sous le bec de gaz ».

Le 2 Octobre 1888, dans une lettre à son ami Eugène Boch, il écrit : «  Puis enfin une étude du Rhône, de la ville éclairée au gaz et se reflétant dans la rivière bleue. ».

Ces deux dessins, très élaborés, sont des citations de « La nuit étoilée sur le Rhône » (Musée d’Art Moderne New York 73 x 92 cm).  Cette berge du Rhône est évoquée avec une fermeté graphique et révèle un travail remarquable sur les effets de valeurs. Dans les deux cas, domine l’effet graphique qui donne aux étoiles une présence démesurée, montrant qu’elles sont le véritable sujet du travail du peintre. Ces deux dessins m’ont donné envie de faire une copie de cette toile au crayon pastel blanc sur fond noir mais d’après la peinture de Van Gogh.

J’ai poursuivi mes études en copiant La toile « La Nuit étoilée 73 x 92 cm » (Musée d’Orsay) peinte à Saint Rémy en Juin 1889 sous forme d’un dessin au pastel blanc sur fond noir.

Vincent Van Gogh avait une conception de la destinée cosmique de l’homme que je partage et cette quête de sens qui est au coeur de mon travail.

Le choix de recopier de la même façon la toile « Le Champ de blé aux corbeaux  50,5 x 100,5 cm» (Musée Van Gogh Amsterdam) peint à la fin de sa vie à Auvers sur Oise structurait l’ensemble intitulée « La Nuit étoilée de Vincent Van Gogh» qui évoqueraient Les dernières années de la vie de Vincent Van Gogh : Arles 1888 – Saint Rémy de Provence 1889 – Auvers sur Oise 1890.

La création de peintures plus personnelles soit quatre grands polyptyques de quatre mètres de long sur les paysages des Alpilles près de Saint Rémy de Provence et des prairies et champs labourés à Auvers sur Oise (chers à Van Gogh) ainsi qu ‘un petit polyptyque représentant la chambre de l’auberge Ravoux complètent cet ensemble.

Une vidéo des peintures de 12’40 (musiques de Richard Strauss et d’Henry Purcell) est diffusée pendant l’exposition pour lier ce travail pictural à la musique :

« Dans un tableau, je voudrais dire quelque chose de consolant, comme la musique »

Vincent Van Gogh à Théo le 1 septembre 1988.

 

Ombres et lumières à Venise (La Rochelle – Galerie du Printemps)

A l’occasion de la sortie du livre Bernard Bouin Peintures, du réel au mystère,

la Galerie du Printemps présente l’exposition « Bernard Bouin, Ombres et lumières à Venise » du 27 septembre au 10 octobre.

 

Vernissage de l’exposition "Ombres et lumières à Venise"

Jeudi 1 octobre à partir de 18 heures

Exposition "Ombres et lumières à Venise"

Du 27 septembre au 10 octobre

Bernard Bouin, dont le travail croise de façon passionnante les rapports entre peinture, musique et littérature, a rencontré le violoncelliste Bruno Cocset à Vannes il y a plus de 10 ans. De cette rencontre naîtra un élan commun vers des échanges nourris en temps réel entre l’art pictural et la musique.

Le MM Festival s’associe avec joie à cet évènement.

Bruno Cocset concoctera trois moments musicaux autour d’œuvres pour violoncelle seul du Nord de l’Italie (Vitali, Gabrielli, Dall’Abaco). Une partition où peinture et musique deviennent indissociables, véritable immersion sensorielle ou contrepoint donnant naissance à une nouvelle respiration.

Avec Bruno Cocset, violoncelle / Bernard Bouin, peintre

Durée de chaque mini-concert : 20 min suivi d’une rencontre avec les artistes / Jauge limitée à 18 personnes

Entrée libre, réservation en ligne obligatoire sur le Site de MMFestival : https://mmfestival.fr/

*Dans la limite des places disponibles et selon les règles sanitaires relatives au Covid19

 

 

Enfin, à l’occasion de la sortie du livre Bernard Bouin Peintures, du réel au mystère, un séance de dédicace aura lieu à la Librairie Calligrammes...

Signatures et dédicaces du livre par Bernard Bouin

Samedi 3 octobre à partir de 10h30


Installation poèmes, musique et peintures : Hermann Hesse, Richard Strauss, Joseph von Eichendorff, Bernard Bouin

Ensemble de peintures créées au printemps 2019 : Il s'agit de 4 peintures de 140 x 200 cm inspirées de poèmes.

Les textes des trois premiers poèmes sont de Hermann Hesse. Le dernier poème est de Joseph von Eichendorff.

Il est constitué de :

  • Frühling (« Printemps »), allegretto ;
  • September (« Septembre »), andante ;
  • Beim Schlafengehen (« L'heure du sommeil ») andante ;
  • Im Abendrot (« Au crépuscule ») andante.

Cette œuvre représente en quelque sorte le testament musical du compositeur, décédé en 1949 à 85 ans.

L'ensemble présente un raccourci sur le cycle de la vie, du « printemps » au « soleil couchant », dont le dernier vers est « Ist dies etwa der Tod ? » (« Serait-ce donc la mort ? »). Ces lieder proclament l'acceptation sereine de la mort, comme une mort en beauté. Un adieu poignant à la vie, tout de contentement et sensualité, que traduit une orchestration brillante et colorée, mais en même temps simple, par rapport à des œuvres antérieures, sans ornements pesants. Leur ordre a été fixé de manière posthume.

Cet ensemble Vier letzte Lieder (Quatre derniers lieder), op. 150, est un cycle de lieder pour soprano et orchestre composés par Richard Strauss entre mai et septembre 1948. La création eut lieu au Royal Albert Hall de Londres le 22 mai 1950 par la soprano Kirsten Flagstad et l'orchestre Philharmonia dirigé par Wilhelm Furtwängler.

C'est cette version musicale que j'ai choisie pour relier les poèmes et mes peintures dans la vidéo qui sera diffusée dans l'exposition.

Cette vidéo dure un peu plus de 20 minutes. C'est émouvant puisqu'il s'agit de la création de l’œuvre avec la soprano Kristen Flagstad qu'avait choisi Richard Strauss décédé huit mois plus tôt.

Dans cette version historique, "ça gratte" un peu mais le but est de faire participer le spectateur aux sources (musique et poèmes) qui m'a permis de créer ces quatre grandes peintures."

Date et horaires

Jeudi 10, vendredi 11 et samedi 12 septembre 2020, à 10h, 11h, 14h, 15h, 16h et 17h