Galerie Cupillard – Saint Tropez, 1993

Gazette Hôtel Drouot 3 Septembre 1993 – Marc Hérissé

Tout en étant réaliste,  le monde du peintre est porteur  d’irrationnel et de mystère. La représentation s’efface au profit de la « vision ». Chaque scène nous semble familière tout en suscitant une curieuse impression d’étrangeté. Un tableau de Bouin se déroule à la fois dans l’ici  et  dans l’ailleurs,  dans  l’hier  et  dans l’aujourd’hui. De même, parallèlement, si les sujets représentés sont indiscutablement contemporains,  la technique, elle,  dans sa linéarité et  son caractère délibérément anguleux, évoque-t-elle, celle de certains primitifs flamands.

Gazette Hôtel Drouot 3 Septembre 1993 – Marc Hérissé

Les toiles présentées ci-dessous ont été exposées dans la Galerie Cupillard à Saint Tropez, en Août 1992.

www.bernardbouin.com

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Galerie David – Lyon, 1993

Exposition de l’artiste Bernard Bouin à Lyon en 1993

A la Galerie David, l’univers immobile de Bernard Bouin avec des personnages au hiératisme balthulsien.

Très beau !

André Mure Le Progrès de Lyon – Avril 1993

Les toiles présentées ci-dessous ont été exposées dans la Galerie David à Lyon, en Mai 1993.

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Galerie Visconti – Paris, 1993

Gazette Hôtel Drouot par Marc Hérissé

La lumière, qui envahit les toiles veloutées de Bernard Bouin, est le plus souvent artificielle. Et si elle est parfois diurne, elle n’est pas pour autant naturelle ou réaliste. Il y a du symboliste chez ce peintre qui, dans ses sujets, s’interroge aussi bien sur la solitude que sur l’incommunicabilité. Dans le filigrane de ces oeuvres attachantes, discrètes et silencieuses: une réflexion sur l’absurdité de l’univers.

[ Gazette Hôtel Drouot 26 Février 1993 – Marc Hérissé ]

 

Les toiles présentées ci-dessous ont été exposées dans la Galerie Visconti à Paris, en Février 1993.

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Galerie Art Comparaison – Nantes, 1992

Dans les toiles de Bernard Bouin se cotoient l’étrange et le familier, le temps et les êtres semblent arrêtés dans leur mouvement et les personnages statiques, ne regardent qu’à l’intérieur d’eux-mêmes.

Même côte à côte, ils ne sentent pas qu’ils se touchent, comme irrémédiablement séparés, subissant leur vie, baignés dans une lumière artificielle.

Chez Bernard Bouin, il ya du Hopper , du Chirico, et pourtant les influences si visibles soient-elles, Bernard Bouin sait les maîtriser et les mettre au service d’un travail esthétique, personnel et authentique.

Revue d’Art ARTENSION Mars 1992

Les toiles présentées ci-dessous ont été exposées dans la Galerie Art Comparaison à Nantes, en Avril 1992.

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